Suite a ses travaux de la matinée a l'atelier, Thomas sorti de cet endroit qui étais devenu son antre. Depuis la mort de ses parents, Thomas étais de plus en plus seul, il ne cherchait pas a contacter ses amis oumême de nouvelles personnes, il était seul et désirais le demeurer, bien que parfois cela fut ardu de tolérer d'être seul pour Thomas, il n'en demeure pas moin distant avec tout ce qui est vivant ou a l'air de.
Il avait fini, ce matin, de travailler la garde d'une rapière commandée par un client régulier qui, de base, collectionne les armes et pratique souvent le duel armé de ces dernières, cassant régulièrement l'une d'elles, il revient toujours a la résidence de Thomas et en demande une nouvelle. Agissant ainsi comme un enfant gaté, il cache sa première intention de prendre des nouvelles de l'orphelin. Thomas aime bien voir ce viel ami de la famille roder pour son materiel, il trouve sela rassurant d'avoir régulièrement un contact humain.
Se dirigeant vers sa chambre pour dormir un peu, vu le fait qu'il eu travaillé toute la nuit, Thomas s'arrêta a la cuisine pour manger, ne seraisse qu'une miette de pain, pour calmer sa faim et bu un grand verre de lait. Il prit les escaliers et monta la moitié des marches avant de s'arrêter, avec, dans le coeur, l'espoir d'entendre ses parent lui parler, ou bien un bruit venant de cette chambre maudite, n'apercevant pour l'instant aucun bruits, il continua son chemin, se trouvant pathétique ainsi que puéril d'avoir l'espoir que, comme par magie, tout redevienne comme avant. Il se dirigea a la salle de bain pour se brosser les dents et faire ses besoins avant d'aller comme prévu se coucher sous le rassurant édredon que sa tante lui avait offert pour ses treizes ans. Et, dans un silence des plus inquiétant, il rejoignit le monde utopique de ses rêves brisés.