Gris, couleur des tristesses et de la malchance. Un présage? Oui, non, comment en être simplement sûr. Qui et pourquoi ? Tous ses gens qui le croisaient et qui le dépassaient avait bien une histoire. Lui la sienne était enfouie dans les profondeurs de son être et refusait de faire surface comme un entité qui aurait décidé elle-même de se noyer et de ne plus jamais ressortir au grand détriment de tous. Gris…. Gris comme les grands édifices qui l’entourait, qui en cette journée aurait pu ressembler aux barreaux d’une prison.
La journée le rendait mélancolique. Quoi de plus normal quand on ne se souviens de rien. La famille ou il créchait, était chaleureuse, accueillante mais ce n’était pas chez lui. Comment vraiment se sentir chez soi quand tu ne reconnais aucuns voisins. Peu importe, avec la gentillesse de Queenie, il avait maintenant des vêtements à lui, mais qui venait quand même de l’argent donner qui n’était pas le sien. Avec un peu de monnaies qui avait fait en aidant 3 vieilles dames a porter leur commission et un cinq dollars trouver sur la rue, il allait acheter des fleur a cette gentille dame pour la remercier et il irait lui porter au travaille.
Toute une aventure pour un simple cinq dollars. Après avoir trouver l’argent, il voulu chercher le propriétaire : « À qui se 5 dollars ? » Il en fallait pas plus pour que tout les itinérants du quartier lui sautent dessus en lui jurant sur la tête de leur mère que c’était le leur. Triste de pensé qu’autant de mère auraient perdu leur tête cette journée la pour un simple cinq dollars. Il fini par se fondre dans la foule pour s’éclipser voyant que l’honnêteté n’étouffait personne dans cette ville.
Il acheta les fleurs et marcha vers l’école. Ce n’était pas un gros bouquet pour ne pas donner de fausse impression mais assez gros pour dire qu’il était reconnaissant des soins et tout ce qu’elle avait fait pour lui.